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Samedi et dimanche 3-4 octobre 2009: Ca faisait longtemps que l’on n’avait pas fait d’activité pour nourrir notre cerveau. Cette fin de semaine, c’est le premier dimanche du mois, c’est-à-dire que plusieurs musées et collections peuvent être visités gratuitement. Dans la quatrième ville la plus cher au monde, les activité gratuites sont plus que bienvenue. D’ailleurs c’est une bonne occasion de faire des choses différentes tout près.
En ce magnifique samedi, gros soleil et plus de 20 degrés, on se promène un peu dans la ville et surtout on se rend au musée d’histoire naturelle de Genève. Il est situé un peu en dehors du grand centre-ville et surtout de l’autre côté du lac, ce qui nous fait une bonne heure de marche, après un bon petit panini au centre-ville, question d’avoir assez d’énergie pour tout le tour.
Le Muséum d’histoire naturelle de la Ville de Genève c’est : le plus grand Muséum d’histoire naturelle de Suisse (galeries d’exposition sur plus de 10’000 m2, plus de 200’000 visiteurs par année, une équipe scientifique renommée) est également un lieu culturel genevois très apprécié par les enfants en particulier.
Au rez-de-chaussée: on a été impressionnés par la faune régionale.
1er étage: mammifères et oiseaux du monde.
2e étage: batraciens et reptiles, insectes et autres invertébrés.
3e étage: aventure de la Terre, histoire de l’Homme, minéraux, géologie du Pays de Genève.
4e étage: géologie de la Suisse.
De dehors ça a l’air de rien. Même une fois à l’intérieur, c’est plutôt sobre. On décide de boucler la boucle des animaux (après le Kenya) et de faire la faune régionale et le premier étage. WOW, c’est immense, très très bien présenté, en fait, les plus beaux musées que j’avais vue de ma vie c’est au Vatican. Ce musée est aussi bien, en terme de présentation et de contenu et en plus il est gratuit en tout temps.
Chacune des vitrines contenant les animaux empaillés (on dit naturalisés) sont parfaits… plus réaliste que ça c’est des vrais. Aussi c’est un détail, mais les vitres son anglées vers l’intérieur ce qui fait qu’il n’y a aucun reflet, c’est hallucinant… je me suis cogné plusieurs fois contre la vitre tellement que l’on dirait qu’il n’y en a pas… les animaux sont remis dans leur environnement sur des fonds peints et avec des accessoires.
C’est tellement grand que même après 2-3 heures à regarder et apprendre plus sur les animaux, on n’a pas fait 50% du musée et notre intérêt est un peu plus bas.. on décide donc de revenir une autre fois pour faire le reste… et cette fois on prendra des photos… vous allez voir c’est fou!
Le dimanche, premier dimanche du mois, il y a des expos gratuites. On décide d’aller au MEG – Musée d’Ethnographie de Genève Le Musée d’ethnographie de Genève, fondé en 1901 par le professeur Eugène Pittard, s’est développé autour de sept départements scientifiques consacrés aux cultures d’Afrique, d’Amérique, d’Asie, d’Europe et d’Océanie, ainsi qu’à l’anthropologie visuelle et à l’ethnomusicologie. Deuxième de Suisse par l’importance de ses collections, le Musée d’ethnographie conserve environ 100’000 objets et documents témoins des sociétés humaines des cinq continents.
Un musée beaucoup plus petit, mais avec 3 expos très différentes. D’abord l’exposition Médusa en Afrique : qui est en fait une exposition de masques africains. Intéressant, mais je n’aurais pas payé pour voir cela, c’est très « ethnique » mais pas très excitant!
Ensuite l’expo L’air du temps : Une exposition interactive sur la conservation de la musique du monde. Intéressant, mais assez « vieux » comme archives musicales… et notre intérêt était mitigé. En plus, les seules chansons qu’ils ont présentées sur le Canada sont ceux des Inuits…ben voyons donc, on a quand même d’autres chansons traditionnelles qui nous représentent mieux. C’est vraiment trop cliché.
Et pour terminer, l’expo qui nous ammenait vraiment au musée : Villa Sovietica : une exposition d’objets de l’ère soviétique pour comprendre comment les gens vivaient durant l’époque de ce grand pays bercé d’un rêve utopique du communisme. Légère déception, l’expo n’est pas dans ce building et c’est une pré exposition (Cadrer l’EST) qui relate la recherche qui a été faite pour la vraie expo que l’on verra une autre fois. Nous avons la chance d’avoir avec nous le photographe qui a fait les photos et on peut échanger avec lui. C’est très intéressant et sans lui l’expo aurait été sans intéret. C’est donc avec un peu plus d’informaton que nous irons voir l’expo dans l’autre annexe du musée, sinon c’était une journée de culture et d’échange réussie.
Cette semaine, chérie est en formation à Zurich, je vais donc pleurer tout seul à la maison… sans chat!
mam
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